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Après dix années et autant d’albums à chanter et composer à la guitare, GiedRé a commencé à être fatiguée de la jalousie qui ravage le milieu du show business. Fatiguée d’entendre qu’elle avait « copié » son Mi Mineur, lassée des rageux qui enviaient sa maîtrise parfaite de 4 accords (comme quoi elle aurait triché, comme quoi à son âge c’était impossible de maîtriser aussi bien un instrument).


C’est donc tout naturellement, et aussi parce que elle ne se fait plus toute jeune et que rester debout avec une guitare pendant tout un concert n’arrange pas ses varices, qu’elle s’est tournée vers le piano pour composer ce nouvel opus (c’est peut-être un détail pour vous mais pour elle, ça veut dire beaucoup).


Au fil de l’écriture de ces nouvelles chansons, elle s’est rendue compte que cet instrument prestigieux appelait à la douceur, à la tendresse, et peu à peu c’est avec amour qu’elle a souhaité aborder les thèmes qui s’en dégagent. S’il est vrai que par le passé, GiedRé se distinguait surtout par son côté « rock » (cf Bruce Springsteen), elle souhaite aujourd’hui offrir à son public une vision plus romantique des sujets qui lui sont chers (les poils, les prouts et le caca).


En espérant que ces nouvelles chansons apportent un peu de douceur dans ce monde de nanani nanana, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes sentiments les plus neutres parce que faut pas déconner, je ne sais pas qui est en train de lire et je vais pas m’engager comme ça là direct sans te connaître.

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